Par margit |
Das Gebäude der EZB in Frankfurt von Offenbach aus gesehen

Une "zone" n'a pas de volonté politique. C'est pourquoi l'Eurolandpost parle de la région euro ou de l'Euroland. Car toute entité politique a besoin de personnes qui la soutiennent. Cela ne vaut pas seulement pour les communes ou les nations. Cela vaut aussi pour l'Euroland. La monnaie commune, c'est l'argent dans notre porte-monnaie ou sur notre compte en banque. C'est un projet politique européen qui doit profiter aux citoyens du Portugal à la Lituanie. Mais comme on l'a vu pendant la crise financière et la crise de l'euro, il peut aussi en résulter de très fortes tensions. Des tensions qui, selon certains, peuvent être si graves qu'elles menacent l'unification européenne dans son ensemble.

Or, l'époque de la crise financière et de la crise de l'euro est derrière nous. Par la suite, beaucoup de choses ont été modifiées et réaménagées dans l'architecture de l'Euroland. La plupart des gens - comme moi - ne sont pas au courant de beaucoup de choses. Qui, à part les experts compétents, a déjà entendu parler du "Single Resolution Board" à Bruxelles? (1) Et pourtant, eux aussi se donnent beaucoup de mal pour communiquer. La mission de cette "autorité centrale de résolution de l'Union bancaire" est la liquidation en bonne et due forme des banques en difficulté dans les Etats membres. Il s'agit de limiter autant que possible les dommages pour l'économie, le système financier et les budgets publics. Difficile à croire, mais comme je le sais par expérience, même la Banque centrale européenne n'est pas connue de tous.

Aux institutions plus ou moins connues de l'Euroland s'ajoutent les 20 pays membres de l'UE qui partagent la même monnaie. Chacun de ces pays a son propre biotope politique national et est intégré à sa manière dans le marché mondial. Enfin, il existe également des cultures nationales très différentes en matière de gestion de la monnaie. Pour faire progresser chaque pays membre individuellement et l'Euroland dans son ensemble, les institutions nationales et communes doivent bien travailler ensemble. Je pense que les tâches des gouvernements et des administrations publiques sont devenues plus exigeantes. Les responsables ne doivent pas seulement penser à leur propre pays, mais aussi à l'Euroland dans son ensemble. Et certaines politiques nationales (comme la dévaluation), avec lesquelles on s'était bien installé pendant des décennies, ne sont plus du tout disponibles.

Et c'est là que les citoyens entrent enfin en jeu. Pour que nous puissions contrôler l'action politique, nous devons la comprendre. Prenons notre rôle dans la démocratie au sérieux, assumons nos responsabilités. Enfin, nous pouvons nous poser la question: Quelle pourrait être notre contribution à la réussite commune de l'Euroland ?

(1) https://www.srb.europa.eu/en  

Allemand dans l'original, traduit automatiquement par www.deepl.com 
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